Quelques clefs pour reconnaître un masseur bien-être certifié.
Le savez-vous ? La profession de masseur n’est pas réglementée dans la législation Française (à contrario de celle du Québec par exemple). Il n’existe donc pas d’école assermentée du massage bien-être en France. Ainsi n’importe quelle personne peut se revendiquer masseur – sans aucune qualification requise.
La profession de masseur ne peut en aucun cas s’apparenter à une activité de santé. Il est donc impératif pour un praticien de respecter cette règle. Nous parlons de massage bien-être et non de massage thérapeutique.
Reconnaitre un bon masseur débute par la qualité de l’accueil, qu’il soit digital ou présentiel. Son approche est bienveillante, les offres proposées sont claires, sa ou ses spécialisations sont explicites, il n’existe pas d’ambiguïté sexuelle ou sectaire dans sa pratique. Le praticien se tient à disposition pour transmettre les informations concernant sa/ses formation(s), ses expériences ainsi que son diplôme.
Lors de la prestation, le praticien respecte l’intimité du massé notamment par un drapage sécurisant (voir article précédent), la gestuelle est fluide (manœuvres enchainées), il est à l’écoute de vos besoins, de vos attentes et aussi de vos limites (validation de la pression exercée, questionnaire préalable sur les zones à travailler/à éviter…)
Pour finir, vous pouvez toujours vous renseigner auprès de la Fédération Française de Massage Bien-Être (FFMBE). Celle-ci référence un certain nombre de praticiens et d’écoles reconnues par la fédération qui s’engagent au respect d’un code déontologique. Notamment : être titulaire d’une formation de plus de 200h, certifier d’un nombre d’heure de pratique et l’obtention d’un certificat de compétence après validation devant jury.